LES ENTREPRISES GLORIEUX

Depuis 1928, les entreprises Glorieux s’occupent du triage à façon et des semences fermières. Au fil des années, elles ont su s’adapter aux divers enjeux du vingtième et vingt et unième siècle afin de proposer un service de proximité adapté au monde agricole.

Générationnel

Un métier transmis de père en fils avec passion.

Proximité

Le chef d'entreprise est partout : dans les bureaux comme sur le terrain.

Passion

Précurseur dans le machinisme. Adaptation aux évolutions.

L'historique en détail

Lancement de l’activité

C’est en 1928 que Valère Glorieux crée son entreprise éponyme, à Le Bosquel dans ce qu’on appelait, encore il n’y a pas si longtemps, la Picardie. Valère commence tout seul dans le triage de céréales. Trois quintaux et demi à l’heure soit 300 kg/heure. Tel était le rendement de l’époque à l’aide des trieurs en bois d’antan.

Les enfants entrent en scène

En 1948, Valère Glorieux décède. Ce sont sa femme et ses enfants qui reprendront la relève de l’ indivision Glorieux Stallens. Jacques Glorieux, alors âgé de 14 ans seulement, commence sa longue expérience en tant que trieur. C’est donc logiquement qu’il assure la continuité du triage Glorieux en 1976 et s’impose comme la seule entreprise de triage et traitement de céréales dans la région. La transformation des machines et l’évolution du « savoir bien faire Glorieux » permettent à Jacques et sa femme de voir leur productivité passer de 1 tonne et demie à trois tonnes par heure (15 à 30 quintaux). Soit un rendement multiplié par dix, en comparaison avec les débuts de l’activité de l’entreprise sous l’ère de Valère !

Incontournable à l’échelle du Nord de la France

Jacques prend sa retraite en 2015 en ayant utilisé un prototype de traitement plus judicieux développant ses performances d’enrobage passant de 15 à 80 quintaux (soit 8 tonnes/heure) ! Une évolution tout bonnement prodigieuse quand on connait le rendement initial de l’entreprise et les différents changements auxquels, elle a dû faire face au fil des années.

En parallèle, Alexandre Glorieux, le fils de Jacques et petit-fils de Valère, a développé, conçu et créé le siège de Sarton (62) en 2001, dans les Hauts-de-France. Fort de son expérience, Alexandre reprend la structure familiale à Monsures, 80160.

En l’espace de 100 ans à peine, les entreprises Glorieux ont suivi l’évolution de la demande en investissant dans une station de semence mobile dont les performances atteignent plus de douze tonnes par heure soit 120 quintaux. Ce qui permet à Alexandre Glorieux et son équipe de se positionner parmi les leaders des semences fermières dans la région des Hauts de France et de la Seine Maritime.

En résumé

Les dates essentielles

En 1928, l'entreprise Glorieux utilisait du matériel de l'époque

Création par Valère Glorieux

En 1928, à Le Bosquel, Valère Glorieux, le grand-père d'Alexandre, crée son entreprise de commerce agricole.

Décès du pionnier

En 1948, Valère Glorieux décède. Staelens, sa femme, reprend la relève avec ses enfants.

Agriculture positive des entreprises Glorieux

Jacques et sa femme en assurent la continuité

En 1976, le couple développe l'entreprise à l’échelle régionale. Evolution notable qui permet à l'entreprise de prendre une nouvelle tournure.

semences fermières et laminage à la ferme en hauts de France et Seine Maritime

Création d'un deuxième site par leur fils

En 2001, à Sarton, Alexandre Glorieux crée un deuxième site et installe les entreprises Glorieux comme une entreprise incontournable de la région.

Rendement et évolution remarquable des entreprises d'Alexandre Glorieux

Reprise des entreprises

En 2015, fort de son expérience, Alexandre Glorieux reprend la structure familiale à Monsure. Aujourd'hui, les entreprises Glorieux font partie des leaders des semences fermières en Hauts de France et Seine Maritime.